Dans le cadre des négociations actuelles sur un accord de cessez-le-feu à Gaza, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a catégoriquement affirmé que son pays ne libérerait pas « des milliers de terroristes » palestiniens. Ces déclarations font suite à une réunion à Paris ce week-end, où des représentants américains, qataris, égyptiens et israéliens se sont réunis pour discuter d’un possible accord avec le Hamas.

« Nous ne retirerons pas l’armée de la bande de Gaza et nous ne libérerons pas des milliers de terroristes », a déclaré Netanyahu lors d’une conférence de presse, soulignant la position ferme d’Israël dans les pourparlers en cours.

→ A LIRE AUSSI : Neuralink, du géant Elon Musk, a posé son premier implant cérébral sur un être humain

Les discussions, centrées sur la recherche d’une solution viable pour un cessez-le-feu durable, mettent en lumière les tensions persistantes entre Israël et le Hamas. Alors que certaines parties cherchent à trouver un terrain d’entente, le refus d’Israël de libérer un grand nombre de détenus palestiniens pose un défi majeur dans la recherche d’une résolution pacifique.

L’accord envisagé comprendrait des mesures visant à stabiliser la situation à Gaza et à mettre fin aux hostilités. Cependant, la question de la libération des prisonniers reste un point de discorde majeur entre les parties impliquées. Les autorités israéliennes insistent sur le fait que la libération de milliers de personnes considérées comme des « terroristes » serait inacceptable et compromettrait la sécurité nationale.

→ A LIRE AUSSI : Les limites de l’Assemblée nationale concernant la Commission d’enquête parlementaire

→ A LIRE AUSSI : Présidentielle 2024 : Bassirou Diomaye Faye président, quel avenir pour Ousmane Sonko ?